Quand les mots guinchent

Dans le Paris populaire les mots partent en goguette pour valser avec le musette. De l’argot à trois temps, du populaire en musique, espoir d’un soir dans l’histoire et toujours, toujours……. l’amour.
Puis le bal s’ouvre, valses et javas prennent le pas et le public se laisse entraîner aux sons de l’accordéon et de la voix de Nina.


Des mots, des musiques, quelques perles de notre mémoire collective et un regard sur le destin de quatre femmes, filles de rue et serveuses.

Original dans sa forme, puisque le spectateur est témoin dans un premier temps et se fera acteur en entrant par le biais du bal dans cette histoire.
Le quatrième mur tombe, un pont est jeté entre les mémoires et notre avenir : confondre passé et présent, ouvrir l’espace, partager l’espoir.